Recherche par auteur : Sangsue, Daniel
2 résultats.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 68065
Résumé:En juillet 1997, un professeur de littérature suisse disparaît entre son domicile et l’université où il enseigne. Quinze ans après, un collègue enquête sur cette disparition. À partir de livres du disparu, de témoignages et du dossier de police, il suit différentes pistes. Elles le conduisent dans les milieux académiques, un bar parisien, une assemblée spirite, une station d’altitude, un buffet de gare bâlois et des fermes perdues de l’Aveyron. Qu’est-il arrivé à Karl Kleber? A-t-il fui les réformes de l’université? A-t-il fugué avec une étudiante? Est-il encore vivant ou a-t-il été assassiné par un collègue? L’enquêteur improvisé finit par découvrir le pot aux roses. Inspiré d’un fait divers réel, ce polar, qui joue avec les genres du roman de disparition et du roman de campus, est aussi un éloge de la littérature, dont il interroge les pouvoirs de révélation.
Lu par : Jeanne Laurent
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 72516
Résumé:Un presbytère du XVIIIe siècle, accolé à une église désaffectée, un cimetière de campagne, des archives répertoriant des morts violentes et mystérieuses, le journal intime exhumé d'un prêtre pécheur, et, bien sûr, un revenant : ce roman réunit tous les ingrédients des histoires fantastiques. A la différence des récits traditionnels, son narrateur est cependant loin d'être effrayé. Au contraire, lorsqu'il découvre qu'un esprit hante véritablement le lieu, il s'y intéresse de près, en sa qualité de spécialiste de la pneumatologie - la science des fantômes -, et se donne pour mission de libérer cette âme en peine. Daniel Sangsue nous livre ici un récit malicieux qui entremêle réalité et fiction et joue avec les attentes du lecteur. Ce roman érudit aborde, sous le couvert du fantastique et de l'humour, des questions essentielles autour de la spiritualité. Truffé de références et de clins d'oeil parfois parodiques, il est aussi une ode à la littérature et à la vie qu'elle appelle.